La Famille Princière de Septimanie et Comtale de Gévaudan: généalogie et histoire

09.10.2021

Nous savons que la généalogie est le la fraction la plus ancienne de l'Histoire. Elle doit beaucoup de ce que nous savons à l'heure actuelle. L'évolution aux fils des siècles à permis l'émergence de la critique historiographique. Le XXème siècle à joué un rôle majeur dans le mariage réussi de la généalogie contemporaine et l'histoire transdisciplinair


De la pratique de la généalogie naitrons les modèles, les méthodes, les archives familiales, les traditions millénaire et la passion pour conserver les registres de nos ancêtres. L'Histoire les prends pour base de leur recherches. La confrontation des sources, la séparations mythiques et idéologiques, mais l'appuie de la sociologie ont créer un enrichissement multidisciplianaire ce qui à permis la construction théorique et la recherche historique.


Les fruits obtenus sont d'un immense richesse. Une source de connaissance qui est sans aucun doute un grand héritage à cultiver par les générations qui se succéderont.
En étudiant la haut et la fin du Moyen-Age, l'historien découvre l'existance de plusieurs royaumes, baronnies, comtés, marquisard, duchés en France, avant la formation de l'Etat national absolutiste, mis en oeuvre par la lignée capétienne initiée par Hugues Capet et simultanément maintenu par ses descendants les Ducs de Borgonha, Bourbon, Orléans, Orléans-Guise.


Il est dans les lieux de pouvoir, où se trouve la souveraineté des Chefs dynastiques. Le Féodalisme, fruit de la désintégration de l'Empire Romain et l'adéquation des tribus germaniques qui pénétrèrent en Gaule, survivant de manière triomphale par la fusion des tribus franques avec le peuple gallo-romain.
Le Prof. Dr. Sérgio Resende de Barros, à un texte brillant pour son objectivité et sa reflexion claire:

"Les féodalites de base territoriale sont constitué d'unités économiques, sociales et politiques dotés de relative autonomie. Ils étaient gouvernés par leurs propriétaires, seigneurs féodaux, qui entretiennent chacun des relations hiérarchiques de noblesse (rois, ducs, marquis, comtes) et le clergé (Pape, évêques, abbées). Prince laïques et écléssiastique étaient chacun des vassaux de Souverains, cette vassalité était basé sur les serment d'allégence qui former une pyramide hiérarchique du pouvoir et de la dignité. Mais touts étaient des seigneurs féodaux. Chacun était seigneur (Dominus) d'un domaine féodal et envoté dans le domaine des terres qu'il possédait en fief : le Roi commande en son Royaume, le Duc commande en son Duché, les Marquis dans les Marquisards, les Comtes dans les Comtés, le Pape dans les terres Papales, l'évêque dans son évêché, l'abbé dans son abbaye. En outre, chaque Prince gouverne sa principauté à la suite d'un contrôle politique territoiriale."

Ces tests, qui couvre tout le potentiel du territoire appelé fief, conduisant à la rationalisation du patrimoine universel d'une famille noble, augmenté par la guerre, par héritage ou par les union matrimoniale suivant les normes juridiques du droit international de la Noblesse, quià évoluer progressivement avec les Etats.


A noté que depuis l'école primaire, les jeunes apprenent que la fragmentation de l'Empire Romain d'Occident, basé à Rome, rendu possible l'avènement de la féodalité. Dans ce document, parmi les divers éléments, nous insistons sur la relation entre la souveraineté et la suzerainté par les propritaires foncier. La puissance du seigneur féodal était d'établir la législation réglementaire de chaque château : fait qui générait la base constitutionnelle des Etats.

Les privilèges d'un seigneur souverain et titulaire de la noblesse accordé sont différents. Le premier devellope le gouvernement : il à la capacité de créer des petits nobles, des chevaliers, promouvoir la guerre, frapper sa monnaie, percevoir des impots et des dons de terres et exiger la fidélité, etc. Le second, à peu de lien avec le pouvoir souverain mais en dépend. Ils peuvent sous certaines conditions être honoré dans la haute société, obtenir des postes élevés parmis d'autres avantages mais rien au-delà. Il est à noter que certaines précautions doivent être prises lorsqu'ils traitent avec les titulaires de la souveraineté (les propriétaires de liens de sang inaliénables, fons honorum, etc.) car il doivent être considérés comme des "chefs d'Etat".


Dans la France médiévale, avant la consolidation de l'Etat avec les Rois capétiens, il y avait plusieurs royaumes autonomes ou semi-autonomes. Au Moyen-Age, la France avait trois grandes dynasties : les mérovingiens, les carolingiens et les capétiens.
 
Il est un fait que la monarchie française (fondé par Mérové) depuis le VI siècle, à conduit à la division du royaume mérovingiens dans des Etats souverains : la Neustrie, l'Austrasie et la Bourgogne, qui à duré jusqu'au moment de la réunification.
La dynastie carolingienne au IXème siècle, ne pouvant réussir à éliminer le duché de Bretagne. Le fief souverain appartenant succesivement aux dynasties des "De Rennes", "De Nantes", "Cornwall", "Dreux" et "Montfort" survecu quel que soit le roi de France entre 841 et 1532, jusqu'à que le royaume ne soit annexé par le mariage entre Anne de Bretagne avec le Roi de France Charles VIII.


Le duché de Lorraine, une partie de l'ancien royaume de Lotharingie, gouverné par les carolingiens, à été créé par le traité de Verdun (843) lorsque l'Empire de Charlemagne fut partagé entre ses deux fils.

La dynastie des capétiens est mélangée avec la souveraineté de certains fiefs, y compris le comté de Gevaudan et le comté d'Artois, qui existait depuis le XIe et XIIe siècle. Le duché de Normandie, à été fondée en 911 par le traité de Saint-Clair-sur-Epte en faveur de Rollo, Chef Viking, un de ses descendants Guillaume II le conquérant est devenu roi d'Angleterre en 1066. En 1204, dans une bataille, le roi Philippe II de France à repris le territoire.


Les rois de France régnant dans un contexte géographique différent, était appellé ducs ou roi de France selon les périodes.

L'onomastique est la science qui étudie l'origine et l'adoption des noms selon les coutumes et les particularités de chaque peuple.


Le plus ancien document connu dans le monde occidental est la Bible, où de la Genèse à l'Apocalypse, contient beaucoup d'informations généalogiques de l'histoire sacrée. Depuis Adam et Eve ils est listé tous leurs descendants, de Caïn, Abel, Seth, à Noé et sa lignée.


Comme on le voit, dans les temps anciens les gens sont identifiés seulement par le nom, qui étaient des mots communs, présages, que pour lequels les hommes était connus et distingués les uns des autres pour devenir au cours des siècles, des noms propres.

La signification des noms propres est vite oublié quand on passe d'une langue à une autre. Les noms propres sont significatifs et appliqués selon l'humeur que les parents avait prévu au nouveau-né, les circonstances de la naissance, l'apparence de l'enfant ou qu'il espère que l'enfant deviendras l'équivalent des parents.

A l'heure actuelle il y a très peu de gens qui connaissent la véritable signification de leurs noms, mais au moment de sa formation, les noms, en plus d'identifier la personne qui le porte et indiquer dans une certaine mesure leur filiation, exprimer les qualités ou les sentiments qui ornent le nom avec un charme particulier qui à définitivement perdu aujourd'hui.

Mais comme nous l'avons dit, des noms porter et transmis par les enfants des familles, il dégage dans le fond un échantillon de la culture, l'esprit et le caractère des personnes auxquelles ils appartenaient.

Les noms étaient à l'origine des surnoms qui ont été ajoutés au nom pour distinguer plusieurs personnes nommées de la même manière. Ceux-ci ne sont au début pas héréditaires mais le deviennent au début du premier millénaire quand les rois, la noblesse et l'Eglise, qui étaient propriétaires de la terre, commencent à livrer des champs à la bourgeoisie, ils devais légalisé et officialisé ce surnom par lequel il était connu dans le village et leurs enfant devais également porter le même nom que leurs parents.


Le Gévaudan est une région du Sud de la France, qui faisait autrefois partie de la province du Languedoc et est aujourd'hui dans le département de la Lozère et le massif central.


Le toponyme "Gavalda" est un Catalanisation de "Gévaudan", nom d'origine. Dans la péninsule ibérique, nous pouvons trouver des variations Gavaldan (en dialecte gavaldanés) - "Essai géographique et linguistique du Gévaudan" et "Etude des syntaxique des dialectes gévaudanais" - Gavaldà (En Espagne), ou comme Gavaudan ou Gevaudan (France). La translittération du nom à Gevaudan eu lieu en Allemagne, pour la première fois avec le marriage de Almondis qui à été appelé "Almondis von Gevaudun". Il y a des informations, au Portugal dans la chancellerie des rois du Portugal et d'Espagne, à certains moments de l'histoire, cette forme à également été bien reproduite. En anglais il est lu Gievaudun.

En effet, la proximité géographique et l'origine même des Francs (ex-francs saliens, tribu germanique fondé parmis les villages Gallo-Romain) en Allemagne, leur a donné la liberté d'utiliser entre les deux types d'écriture er de prononciation "Gevaudun" ou "Gevaudan".


Dans le cas de "Gavaldà" il a reçu juste une variation, plutôt que de la linguistique, une variation dialectale des peuples de l'Hispanie, mais est de la même famille, dans leur noble héritage et son origine, seule la généalogie réelle varie.

Gevaudan, Comte indépendant : le Gevaudan est devenu une importance évidente pour la domination wisigothe. Après la conquête, les Romains ont conservé la capitale à Gabales, appelé Anderitum, qui serait alors intitulé comme Gabalum (maintenant Javols, un petit village avec 276 habitants.


Durant le Moyen-Age, les comtés de Marks était appelés "mangravatos". Les vrais responsable locaux suprêmes étaient les Comtes, ils ont préparé les armées, recrutés les soldats, ont conduit les armées sur les champs de bataille, ont dirigé le Tribunal, etc. En bref, ils administrent tous les intérêts de l'Etat. Le comté à été divisés en au moins deux et au plus huit centenadas. Dans chacun de ces centenadas il y avait une cour de justice, et en elle le comte a été crée pour la diriger.


Généralement les comtes étaient investis avec un fief par l'Empereur. Les successeurs de Charlemagne ont reconnu sa transmission héréditaire. Le comté à été une grande rivalité que l'Empereur avais donner à son propriétaire le droit d'en jouir à vie. Les comtes avaient les mêmes pouvoirs que le roi et son territoire était un véritable état.
Au début du Moyen-Age, le Gévaudan était connu comme Pagus Gabalum (le pays de Gabales ou Gabali) à cette époque, il était un grand et puissant état. Au début du Xe siècle, Mende avait surplanté Javols comme capital religieuse et administrative du Gévaudan.

Le gavaldanés est la langue ou la parole des habitant du pays du Gévaudan. Comme tout les dialectes et sous-dialectes, sa définitions et son expansion sont arbitraires. Ce qui est considéré comme le parler "typique" du gavaldanés est de Mende. Le gavaldanés est une caractéristique du parlé du nord occitan.


Le Gévaudan et la culture languedocienne ont une racine commune qui est la langue avec leurs parents au sud des Pyrénées, le royaume d'Aragon et le comté de Barcelone. Sans la victoire de la croisade albigeoise, la carte de l'Europe et de la composition aurait pu être très différente.


A cette époque, les villes ont commencé à se développer pour la première fois depuis la chute de l'Empire Romain, et à commencé à la grande époque de la construction des cathédrales, des écoles ont était fondés, etc.

 
Après la mort du Roi Hugues Capet, les comtes suspendus les paiement de toutes les taxes à la couronne de France. Il ne fut donc pas une indépendance glorieuse né sous une victoire triomphante dit Donoso, mais la commodité dans un des moments tragiques et douloureux, que la suspension du paiement des taxes française. De fait la vassalité fit place à l'indépendance.


L'indépendance de "droit" a eu lieu à l'époque du Roi Jaime Ier le Conquérant, par le traité de Corbeil en 1258 avec le roi d'Aragon et Louis IX de France, impliquant la renonciation par Jame Ier à ses droits dans de nombreuses régions du sud de la France et pour sa part, le Roi de France à renoncer aux droits qui pourrait lui être attribués en tant que descendant de Charlemagne, sur les comtés y compris celui de Gévaudan.

Pendant un long siècle, les terres du Gévaudan ont été jugées de fait et de droit autonomes et indépendantes par les comtes souverains.


Bien que faisant partie nominal du Languedoc, Gévaudan a gardé son propre système comme un état jusqu'en 1789. L'assemblée du Pays résidait chaque année, alternativement dans la ville de Mende et Marvejols, et a été présidée par l'évêque de Mende, assisté de huit Barons. Néanmoins les héritiers légitimes nominaux du comté de Gévaudan n'ont jamais abdiqué ni jamais cédé leurs droits légitimes.

Le Gévaudan avait aussi des comtes souverains absolu aux temps des capétients. Tout les princes devaient prêter serment d'allégence au Roi pour sa venue, mais il a été rien de plus qu'une cérémonie et chaque Comte, Duc rester propriétaire en ses lieux.


L'ascendance royale de la Famille comtale du Gévaudan remonte à la succession dynastique interrompue. Des illustres prédécesseurs de la lignées sont détaillées ci-dessous : Pharamond (roi des Francs Saliens) qui avait un fils Clodius (395), ce fut le père de mérové (Roi des Francs, 415/458), Mérové engendra Childéric de Tournai (481), ce fut le père du Roi Clovis des Francs (466-511), Clovis avait un fils Clotaire (Roi des Francs, 501-561) et ce fut le père de Sigiberto, le roi d'Austrasie, ce fut à son tour le père de Childebert II (596), il eut pour fils Thierry II (Roi des Francs, 587-613), ce dernier était le père de Childebert de Bourgogne. La descendance continue par Fulcoad de Bourgogne (670), Childebert Ier, Duc de Bourgogne (752), Thierry d'Autun (705-752) marié avec Auda de France (720) ils donnant naissance à Sigebert, Comte de Rovergue (840), Sigebert engendra Foucaud, Comte de Rovergue, qui est le père de Raymond Ier de Limoges (863) qui prend le titre de comte de Toulouse, Raymond Ier engendra Eudes, Comte de Toulouse (918), Eudes engendra à son tour Armengol de Toulouse, qui épouse Adelaide (855) de ce marriage est né Esteve / Esteban Ier Comte de Gévaudan, qui épouse Anne, né de ce marriage Bertrand Ier de Gévaudan (dont S.A.R. le Prince Ruben Alberto de Gévaudan descend de sa lignée) Bertrand Ier se marie et à un fils qui est appelé Esteban IIe, Comte de Gévaudan / Gavalda (950). Il se marie avec Adelaide Blanche d'Anjou (955) qui donne naissance à Bertrand IIe (pour certains historiens son nom était Esteve III de Gévaudan) Bertrand II/EsteveIII engendra Etiennette Douce Gevaudan qui épouse Godefroy de Provence ils sont parent de Gerberge de Provence qui concoit Gilbert Ier de Gévaudan (1060), Gilbert était le père de Dulce de Gévaudan (1085-1130) Dulce III Ramon Berenguer, Comte de Barcelone. Cette situation apparentras la Maison de Gévaudan avec la Maison des Comtes de Barcelone et la Couronne d'Aragon, fessant prendre racine dans la région qui est devenu connu sous le nom hispanique. La situation est si profonde que le Gévaudan du midi Français ce traduit par Gavalda dans la langue Catalane.


Au début du XVIe siècle, le Gévaudan était extrêmement riche, mais les guerres de religion ont ruiné le pays. Les protestants sont entrés dans le Gévaudan autour de l'an 1550. La répréssion contre eux se termine en 1787 lorsque Louis XVI restaure la tolérance religieuse.


Le plus celèbre des habitant du Gévaudan était bien sûr la bête du Gévaudan. Entre 1764 et 1767 une bête mystérieuse a tué plus de 100 jeunes. Ces meurtres ont causé des problèmes politiques et le roi Louis XV (1710-1774) est intervenu personnellement étant donné l'ampleur du problème. L'évêque de Mende à organisé des prières publiques sans succès. En 1767, Jean Chastel, tué une bête avec des balles bénites. L'identité de la bête n'a pas encore été établie et a fait l'objet de plusieurs légendes, même si leurs crimes étaient vraies et documentés. Une des hypothèses les plus provable est l'association criminelle entre un tueur en série et une bête domestiquée.
A la lumière de l'histoire et les principes du droit international la dynastie des Prince-Comtes de Gévaudan ont conservé le droit perpétuelle des pouvoirs et des attributs de majesté ainsi que les honneurs souverains en la personne du prétendant comme prince descendant d'une dynastie d'origine souveraine. Ces droits sont inhérents, indivisible et inaliénable en la personne du souverain.

Le droit nobiliaire internationale stipule que les chefs de maison d'origine souveraines qui ne sont pas engager dans le debellatio, conservent toujours l'exercice des pouvoirs inhérents à eux avec mépris absolu de certaines possession territoriale. Ils sont protégés par la non-applicabilité de leurs titres de noblesse et droits et il peuvent honorer avec des degrés chevaleresques et des titres de noblesses aux monarques eux.
 
Les dynasties sont produites par l'histoire sédimentaire et par le temps, de sorte que l'éxistence de la famille royale sont indépendants des évènement politico-institutionnels. Aucune loi républicaine ne peut défaire l'histoire et les traditions. Avec ou sans trône officiel les Familles Royales restent les Familles Royales historiquement et socialement. (Revista Mundo Monarquico N°2, Août 1955)


La perte du territoire ne diminue en rien les pouvoirs souverains, car ceux-ci sont inhérentes à la figure physique du souverain, avec transmission "ad perpetuam" à ses descendants (Prof. Dr. Baroni Santos). Dans les Familles Royales, il est étendu aux ménages composés des descendants des souverains qui ont régné sur un territoire à un moment donné.

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